A lire – Brillant article sur la pauvreté des logos de communes

Les limites du branding commercial dans son application dans nos rues…

Les demi-dieux de la communication de marque n’ont pas fini de se prendre les pieds dans les impératifs du terrain.
Si des logos simplistes font les choux gras des enseignes fans de la consommation de masse, appliquer purement et simplement un concept sans l’adapter au terrain relève purement de l’égocentrisme ! En détachant notre né de supercréatif de notre satané nombril, nous revoilà dans la réalité. Difficile alors de prétendre que les logos de nos communes puissent être facilement limités à quelques lignes. Cela reviendrait à limiter toute la richesse de nos régions à de la typo. Et où sont passés les autres sens ? J’insiste à nouveau sur le fait que la communication de marque, même pour le secteur public, ne peut se limiter à ses aspects graphiques. Voyez le message…

Etayé par le nouveau livre de Ruedi Baur et Sébastien Thiéry paru aux Editions Lars Müller, un brillant article de la journaliste Anne-Marie Fèvre nous dépeint la pauvreté induite par la globalisation et la simplification outrancière des logos. Un must, même si les aspects collatéraux des messages ne sont pas vraiment abordés !
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Référence bibliographique:
Face au brand territorial. Sur la misère symbolique des systèmes de représentation des collectivités territoriales. Ouvrage collectif coordonné par Ruedi Baur et Sébastien Thiéry. Editions Lars Müller.
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